Appartient à la séance Buenos Aires-Paris, allers retours (II)
Un certain Julio Cortazar
Buenos Aires-Paris, allers retours (III)
Julio Cortazar n’a jamais écrit en français mais a vécu 35 ans à Paris, pour lui capitale culturelle. Au départ, exil choisi puisque, arrivé en 1951, il a toujours gardé contact avec l’Argentine. Puis, le coup d’Etat de 1976 déclenche pour lui un second exil, en rupture cette fois avec son pays d’origine. Jusqu’à la fin de sa vie en 1984, Julio Cortazar n’aura cessé de s’engager dans la lutte contre la dictature. Certains de ses contes fantastiques – également contes philosophiques – portent l’empreinte de ce double exil, comme “la sorcière”, “la lointaine”, “n’accusez personne”, “la deuxième fois” ou “Axolotl”.
04 décembre 2005
01 heure(s) 01 minutes(s) 33 seconde(s)
Jacques Leenhardt
Michèle Gazier
Michel Abescat
Publié le 24/05/2007
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Cinquièmes rencontres internationales des écritures de l'exil
03 décembre 2005 - 04 heure(s) 59 minutes(s) 14 seconde(s)
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